Sauce Piquante Ananas + Habanero

Nous avons créé cette sauce piquante pour accompagner notre repas poulet jerk + sauce rhum et ananas, et tofu jerk + sauce rhum et ananas. Par contre, notre marinade jerk a tendance à être assez épicée par elle-même, et nous n’avons pas senti que servir jerk (traditionnellement fait avec des scotch bonnets seulement) avec une sauce piquante à base d’habanero serait fidèle à la recette. Donc, nous avons choisi de garder cette sauce piquante pour la ligne Ladykillers. Cette sauce piquante épicée que les autres. Avec des moins de sucres naturels et les habanero, cette sauce piquante est plus prononcée – probablement notre plus épicée disponible.

Cette sauce est incroyable sur les tacos, le filet de poisson, la longe de porc et même les légumes. Parfait pour tous ceux qui peuvent prendre un niveau de chaleur plus élevé.

L’illustration de notre sauce piquante Ananas + Habanero a été inspirée par la célèbre tueuse en série Jane Toppan.

Jane Toppan est née Honora Kelley, au Massachusetts, en 1854 dans une famille d’immigrants irlandais. Elle grandit dans un orphelinat , puisque que son père était incapable de prendre soins de sa famille après la mort de sa femme, emporté par la turberculose. De plus, on raconte que cet homme était un ivrogne abusif et excentrique. Il aurait supposément cousu ses paupières après un épisode de folie.

À l’âge de 10 ans, Honora fut la servante sous contrat chez la famille Toppan. Elle s’attendait bien avec la fille de la famille, Elizabeth.
Les Toppan ont fait passer,Honora, pour une italienne ,dont les parents sont morts en mer, à cause des préjugés aux Irlandais. Elle pris leur nom de famille, même si elle ne fût pas adopter par eux. Avec le temps, elle changera son nom pour Jane Toppan.

À 18 ans, Jane obtien son diplôme secondaire .Les Toppan l’a libère de son contrat et lui donne 50 $, mais elle reste comme servante. Lorsque que les parents d’ Elizabeth meurent ,elle repris la maison et a continue à traiter Jane comme une servante. Elizabeth épouse Oramel Brigham, qui emménage dans la maison des Toppan. Cela a poussé Jane à quitter la maison où elle avait vécu pendant 20 ans. Cependant, Elizabeth invitait souvent Jane à lui rendre visite et à rester avec elle, et Jane lui répondait parfois.

En 1885 Jane a commencé une formation pour être une infirmière à l’hôpital de Cambridge. Elle était bien-aimée et amicale, Son surnom était “Jolly Jane”. Cepandant, Jane avait un hobbie morbide. Elle aimait faire des expérimentations avec la morphine et l’atropine sur des patients, généralement âgés et malades. Elle modifiait les posologies prescrits pour voir le résultas sur leur système nerveux. Elle jonglait avec eux pour que ces patients entrent et sortent dans le coma. Ayant une santé fragilisée, ces patients finissaient par mourir. L’administration de l’hôpital commencait à s’inquiéter du comportement de Jane et son obsession pour les autopsies. Après quelque temps, elle fût congediée. Elle retourna à Cambridge, mais a été rapidement congédiée pour avoir administré des opiacés par insouciance.  Toppan commença alors une carrière d’infirmière privée et prospéra, malgré les plaintes de petits vols.

Sa folie meurtrière a vraiment commencé en 1895 en tuant son propriétaire et sa femme. Plus tard, elle a expliqué qu’ils étaient devenus « faibles et difficiles » et qu’ils étaient « vieux et grincheux ». Ses collègues infirmières se souvenaient que Jane croyais qu’il ne servait à rien de garder les personnes âgées en vie.

En 1889, Mary McLear, 70 ans, est tombée malade lors d’une visite à Cambridge et son médecin a envoyé Jane Toppan, « l’une de mes meilleures infirmières », pour prendre soin d’elle. Jane a empoisonné Mary McLear.

Un mois plus tard, elle a tué un ami proche avec la strychnine afin qu’elle puisse prendre son poste de directrice de salle à manger à l’école théologique de St. John’s à Cambridge. Elle a obtenu le poste, mais il n’a pas duré. L’administration ne pouvait pas ignorer les plaintes envers incompétence et l’argent disparut.

En 1899, Jane cible sa propre sœur. Elizabeth se plaint de dépression et Jane l’invite au Cap. Un jour, elle emmena Elizabeth à la plage pour un pique-nique de bœuf salé , de tire et d’eau minérale mélangée à de la strychnine. « Je l’ai tenue dans mes bras et j’ai vu avec plaisir que sa vie se terminait », a dit Jane plus tard.

Jane Toppan décide alors de s’insérer dans la maison du veuf d’Elizabeth, Oramel, parce qu’elle veut l’épouser. Après trois jour, elle a tué la femme de ménage. Elle reprend les tâches ménagères et essaie d’impressionner Oramel avec ses compétences en entretien ménager. Brigham a dit clairement qu’il ne voulait pas d’elle comme femme de ménage ou comme épouse.

Jane a décidé de gagner son amour en l’empoisonnant et en le soignant par la suite. Cela n’a pas fonctionné non plus, alors elle a menacé de dire qu’il l’avait mise enceinte. Enragé, Oramel a ordonné à Jane de sortir de sa maison. Elle a essayé de se suicider avec une overdose de morphine, mais a échoué.

Jane a ensuite loué un chalet de la famille Davis, mais elle n’avait pas payé le loyer. L’épouse d’Alden Davis, Mattie, s’est rendue à Cambridge pour recueillir son loyer, mais Jane l’a tuée avec un cocktail de morphine et d’atropine. La fille aînée de Davis, Annie, était tellement bouleversée qu’elle se tourna vers Jane pour obtenir du soulagement. L’infirmière Toppan l’aida en lui faisant des injections. Peu de temps après, Annie est décédée. Elle est demeurée infirmière de la famille Davis et a emménagé chez l’aîné Alden Davis pour s’occuper de lui. En quelques semaines, il a été tué, avec sa sœur et ses deux filles. Les survivants de la famille Davis ont commandé un rapport toxicologique sur la plus jeune fille. On a découvert qu’elle avait été empoisonnée. Jane a été arrêtée peu de temps après, et en 1902.Elle a admis 31 meurtres. Elle a été déclarée non coupable pour cause d’aliénation mentale et a été internée à vie à l’hôpital psychiatrique de Tauton.

Dans un article publié peu après son arrestation, il a été rapporté que Jane administrait une concoction de médicaments à ses patients, s’allongeait avec eux les tenait, et les caressait pendant qu’ils mourraient. Elle essayait de voir le fonctionnement intérieur de leurs âmes à travers leurs yeux dans leurs derniers moments. Pendant son interrogatoire, Toppan a admis qu’elle ressentait un frisson de nature sexuel en voyant les patients sur le point de mourir, revenir à la vie et finalement mourir à nouveau. Jane a admis qu’elle aspirait « à vouloir tué plus de personnes — des personnes sans défense — que n’importe quel autre homme ou femme ayant jamais vécu ».

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REFERENCES
https://en.wikipedia.org/wiki/Jane_Toppan
https://www.newenglandhistoricalsociety.com/jolly-jane-toppan-killer-nurse-obsessed-death/
https://murderpedia.org/female.T/t/toppan-jane.htm